Dans le cadre des préparatifs des élections générales au Burundi en 2025 et selon le calendrier de la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI, une campagne d’enrôler les électeurs dans tout le pays a débuté en date du 22 octobre 2024, projetée à se clôturer en date du 31 octobre de la même année. C’est dans cette même perspective que l’Ombudsman de la République du Burundi Aimée Laurentine Kanyana a effectué une descente de travail en date du 23 octobre 2024 en province Ngozi précisément dans son quartier natal de Muremera en commune de Ngozi pour se faire enrôler comme tant d’autres Burundais. Dans ce quartier, ce travail s’est déroulé au stade de Muremera.
Au cours d’un message livré par l’Ombudsman après avoir été enrôlée, elle a indiqué que se faire enrôler pour les élections de 2025 est non seulement un droit mais aussi un devoir civique pour participer aux élections en élisant et en se faisant élire. A cette occasion, Aimée Laurentine Kanyana a exhorté tous les burundais en âge de voter à participer massivement à cet acte de citoyenneté de se faire inscrire, une porte d’entrée pour élire les dirigeants de leur choix qui mettront en œuvre des programmes de développer notre pays.
L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a rehaussé de sa présence les activités de la 6è édition du Forum des femmes leaders d’affaires organisé par l’ADB, CDE Great Lakes, et CFCIB en Mairie de Bujumbura
Sous le thème "Le rôle des femmes vers la route de l'émergence d'ici 2040", l'Ombudsman de la République du Burundi, Aimée Laurentine Kanyana, a ouvert solennellement en Mairie de Bujumbura en date du 04 septembre 2024, les travaux de la 6è édition des femmes leaders et d'affaires "Women Business Forum 2024", organisé par l'Agence de Développement du Burundi(ADB), le Centre For Development and Entreprises Great Lakes (CDE), la Chambre Fédérale de Commerce et d’Industrie au Burundi (CFCIB) et d'autres partenaires. Ce Forum qui a réuni les femmes leaders et d'affaires du secteur public et privé avait comme objectif d’échanger et réfléchir sur les stratégies et leur implication pour l'émergence du Burundi en 2040 en montrant leur place et rôle dans les politiques agricoles et l'autonomisation des femmes, bref leur contribution dans la prospérité du pays sans oublier le secteur industriel mais aussi discuter sur le rôle du Burundi dans la participation au sein de la ZCLAF.
Le Forum des femmes leaders et d’affaires a été animé par des présentations, des panels ainsi que les échanges où l’approche participative a été privilégiée conduisant ainsi à la formulation des recommandations à mettre en œuvre pour bien capitaliser les acquis. Les discours ont été successivement prononcés par Mme la Déléguée du Maire de la Ville de Bujumbura, le Directeur Général de la CDE Great Lakes, le Secrétaire Général de la CFCIB, le Directeur Général de l’ADB, le Secrétaire Permanent au sein du Ministère ayant les questions liées au genre dans ses attributions, pour se clôturer par l’allocution de circonstance prononcé par l’Ombudsman de la République du Burundi Mme Aimée Laurentine Kanyana.
Les présentations et les panels ont porté sur les thèmes tels que « La loi est-elle suffisante à l’inclusion financière des femmes ; quel impact de la participation des femmes au développement économiques, expériences d’ici et ailleurs ; garantir les opportunités économiques et droits des femmes au Burundi :que dit la recherche ; quelle stratégie de l’inclusion financière dans la perspective de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine ; quelle action parlementaire dans l’accélération de la participation de la femme vers l’émergence d’ici 2040.
Dans son allocution, l'Ombudsman a indiqué que les femmes burundaises aussi bien rurales qu'urbaines font face à de nombreux défis dont la difficulté d'accès au crédit. Malgré cela, le Gouvernement du Burundi considère la femme comme pilier du développement d'où il a pris des mesures d'une grande importance pour améliorer les droits et l'autonomisation des femmes dont les Banques en plus du code d'investissement de juin 2021 offrant d'avantages aux femmes entrepreneurs. L'Ombudsman a exprimé son vœu ardant pour les participants d'échanger sur les voies et moyens pour rendre la femme burundaise plus prospère et plus actrice du développement de son pays. L'amélioration des droits et autonomisation économique de la femme est l'un des piliers d'implémentation du PND 2018-2027 et la vision du Burundi 2040-2060. Poursuivant son allocution, l'Ombudsman rappelle que le Gouvernement encourage et soutient la participation de la femme dans le secteur privé, source de création de richesses et d'emploi mais aussi d'une croissance économique forte et durable. Aimée Laurentine Kanyana invite toute femme à se battre pour réussir dans les affaires et s'impliquer avec toute leur dernière énergie afin que le Burundi réussisse son Programme National de Développement et sa vision 2040-2060.
L’Institution de l’Ombudsman s’engage continuer à promouvoir les droits de l’autonomisation économique des femmes pour booster la participation des femmes dans l’émergence et le développement du Burundi. Dans le discours de clôture des travaux, l’Ombudsman a remercié les organisateurs de l’événement et a souhaité que de telles occasions puissent s’intensifier et se tenir régulièrement.
Sur la base des interventions et présentations, les recommandations suivantes ont été formulées :
- Les femmes ont les mêmes droits et les mêmes devoirs économiques au Burundi pour participer à l’émergence du Burundi d’ici 2040 ;
- Instaurer le taux de 30% dans les instances de prises de décisions dans les domaines économiques ;
- Développer le marché foncier et faciliter le droit de propriété foncière aux femmes pour emprunter leur accès au crédit et au financement ;
- Continuer à exécuter le Protocol de Maputo en ce qui concerne les droits des femmes communautaires et accessibilité aux services juridiques ;
- Raccourcir la bureaucratie administrative via la rationalisation des procédures, la digitalisation et décentralisation ;
- Faire évoluer les normes, informer afin de réduire les mœurs et coutumes discriminatoires via l’approche participative ;
- Renforcer les capacités de la femme burundaise via l’éducation de financement adaptée, la discrimination positive, la sensibilisation des pairs et l’implication des médias communautaires ;
- Faire la promotion de la masculinité positive pour soutenir la participation économique des femmes vers l’émergence nationale ;
- Appuyer les femmes à se lancer dans les petites et moyennes entreprises afin de les impliquer à faire participer le Burundi aux bienfaits de la ZCLAF ;
- Impliquer les femmes dans l’innovation pour accroitre leur inclusion financière dans l’économie burundaise.
Avaient participé à ce Forum les honorables parlementaires et sénateurs, les représentants et représentantes des secteurs publics et privés, les organisations internationales, les représentantes des différentes institutions du pays dont la BRB, pour ne citer que ceux-là.
L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a rehaussé de sa présence les activités de la 6è édition du Forum des femmes leaders d’affaires organisé par l’ADB, CDE Great Lakes, et CFCIB en Mairie de Bujumbura
Sous le thème "Le rôle des femmes vers la route de l'émergence d'ici 2040", l'Ombudsman de la République du Burundi, Aimée Laurentine Kanyana, a ouvert solennellement en Mairie de Bujumbura en date du 04 septembre 2024, les travaux de la 6è édition des femmes leaders et d'affaires "Women Business Forum 2024", organisé par l'Agence de Développement du Burundi(ADB), le Centre For Development and Entreprises Great Lakes (CDE), la Chambre Fédérale de Commerce et d’Industrie au Burundi (CFCIB) et d'autres partenaires. Ce Forum qui a réuni les femmes leaders et d'affaires du secteur public et privé avait comme objectif d’échanger et réfléchir sur les stratégies et leur implication pour l'émergence du Burundi en 2040 en montrant leur place et rôle dans les politiques agricoles et l'autonomisation des femmes, bref leur contribution dans la prospérité du pays sans oublier le secteur industriel mais aussi discuter sur le rôle du Burundi dans la participation au sein de la ZCLAF.
Le Forum des femmes leaders et d’affaires a été animé par des présentations, des panels ainsi que les échanges où l’approche participative a été privilégiée conduisant ainsi à la formulation des recommandations à mettre en œuvre pour bien capitaliser les acquis. Les discours ont été successivement prononcés par Mme la Déléguée du Maire de la Ville de Bujumbura, le Directeur Général de la CDE Great Lakes, le Secrétaire Général de la CFCIB, le Directeur Général de l’ADB, le Secrétaire Permanent au sein du Ministère ayant les questions liées au genre dans ses attributions, pour se clôturer par l’allocution de circonstance prononcé par l’Ombudsman de la République du Burundi Mme Aimée Laurentine Kanyana.
Les présentations et les panels ont porté sur les thèmes tels que « La loi est-elle suffisante à l’inclusion financière des femmes ; quel impact de la participation des femmes au développement économiques, expériences d’ici et ailleurs ; garantir les opportunités économiques et droits des femmes au Burundi :que dit la recherche ; quelle stratégie de l’inclusion financière dans la perspective de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine ; quelle action parlementaire dans l’accélération de la participation de la femme vers l’émergence d’ici 2040.
Dans son allocution, l'Ombudsman a indiqué que les femmes burundaises aussi bien rurales qu'urbaines font face à de nombreux défis dont la difficulté d'accès au crédit. Malgré cela, le Gouvernement du Burundi considère la femme comme pilier du développement d'où il a pris des mesures d'une grande importance pour améliorer les droits et l'autonomisation des femmes dont les Banques en plus du code d'investissement de juin 2021 offrant d'avantages aux femmes entrepreneurs.
L'Ombudsman a exprimé son vœu ardant pour les participants d'échanger sur les voies et moyens pour rendre la femme burundaise plus prospère et plus actrice du développement de son pays. L'amélioration des droits et autonomisation économique de la femme est l'un des piliers d'implémentation du PND 2018-2027 et la vision du Burundi 2040-2060. Poursuivant son allocution, l'Ombudsman rappelle que le Gouvernement encourage et soutient la participation de la femme dans le secteur privé, source de création de richesses et d'emploi mais aussi d'une croissance économique forte et durable. Aimée Laurentine Kanyana invite toute femme à se battre pour réussir dans les affaires et s'impliquer avec toute leur dernière énergie afin que le Burundi réussisse son Programme National de Développement et sa vision 2040-2060.
L’Institution de l’Ombudsman s’engage continuer à promouvoir les droits de l’autonomisation économique des femmes pour booster la participation des femmes dans l’émergence et le développement du Burundi. Dans le discours de clôture des travaux, l’Ombudsman a remercié les organisateurs de l’événement et a souhaité que de telles occasions puissent s’intensifier et se tenir régulièrement.
Sur la base des interventions et présentations, les recommandations suivantes ont été formulées :
- Les femmes ont les mêmes droits et les mêmes devoirs économiques au Burundi pour participer à l’émergence du Burundi d’ici 2040 ;
- Instaurer le taux de 30% dans les instances de prises de décisions dans les domaines économiques ;
- Développer le marché foncier et faciliter le droit de propriété foncière aux femmes pour emprunter leur accès au crédit et au financement ;
- Continuer à exécuter le Protocol de Maputo en ce qui concerne les droits des femmes communautaires et accessibilité aux services juridiques ;
- Raccourcir la bureaucratie administrative via la rationalisation des procédures, la digitalisation et décentralisation ;
- Faire évoluer les normes, informer afin de réduire les mœurs et coutumes discriminatoires via l’approche participative ;
- Renforcer les capacités de la femme burundaise via l’éducation de financement adaptée, la discrimination positive, la sensibilisation des pairs et l’implication des médias communautaires ;
- Faire la promotion de la masculinité positive pour soutenir la participation économique des femmes vers l’émergence nationale ;
- Appuyer les femmes à se lancer dans les petites et moyennes entreprises afin de les impliquer à faire participer le Burundi aux bienfaits de la ZCLAF ;
- Impliquer les femmes dans l’innovation pour accroitre leur inclusion financière dans l’économie burundaise.
Avaient participé à ce Forum les honorables parlementaires et sénateurs, les représentants et représentantes des secteurs publics et privés, les organisations internationales, les représentantes des différentes institutions du pays dont la BRB, pour ne citer que ceux-là.
L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a rehaussé de sa présence les travaux d’un atelier de 2 jours organisé par l’Association Tugenderubuntu pour la consolidation de la Paix au Burundi
Sous le thème "Échanges sur les principaux obstacles liés à la participation des femmes à la vie socio politique du pays", l'Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a rehaussé de sa présence l'activité de 2 jours organisée en province de Ngozi par l'Association Tugenderubuntu pour la Consolidation de la Paix au Burundi, ATCP en sigle, en consortium avec Burundi Leadership Training Program (BCTP), le Centre d’Alerte et de Prévention des Conflits (CENAP), l’Association des Editeurs du Magazine Jimbere (ASSEMAJI), AJEBUDI-YAGA et Interpeace. Cette activité était organisée dans le cadre du projet "Synergies pour la Paix au Burundi, phase III" avec l'appui du Royaume des Pays Bas au Burundi en vue de contribuer à la réconciliation et à une gouvernance plus responsable et inclusive qui répondent aux priorités nationales dans la capitalisation de la paix et le développement au Burundi.
Dans son allocution de circonstance, l'Ombudsman a d'abord félicité les organisateurs de cette activité qui incite les femmes et filles à accomplir parfaitement leurs responsabilités dans différents postes afin d'apporter leur appui au développement du pays. De telles activités ont aussi été organisées par l'Institution de l'Ombudsman dans tout le pays. Par ailleurs, a martelé l'Ombudsman, le Gouvernement du Burundi ne cesse de manifester sa volonté de développer le genre à travers diverses Initiatives. Bien que les obstacles ne manquent pas notamment liés à la culture et mœurs, l'Ombudsman encourage les femmes à développer leurs compétences dans différents secteurs de la vie du pays dont la scolarité, les entreprises, la participation politique et économique, etc. Eu égard à l'effectif très considérable des femmes et filles, leurs efforts restent très souhaitables dans l'atteinte de la vision 2040_2060 du Gouvernement du Burundi. C'est donc une occasion pour ces deux jours de l'atelier convié aux femmes et filles.
Au jour 2 de l'atelier d'échanges sur les principaux obstacles liés à la participation des femmes à la vie socio-politique du pays à Ngozi, l'Ombudsman burundais Aimée Laurentine Kanyana était un paneliste pour parler sur les atouts disponibles en faveur des femmes mis en place par le Gouvernement mais aussi interpeler les participants à entreprendre dans des coopératives à partir d'un petit capital. Félicitant les Organisateurs, l'Ombudsman a suggéré d'autres séances plus pratiques axées principalement à la sensibilisation sur leurs opportunités à exploiter notamment les produits offerts par la BIDF, la BIJE, et bien d'autres leur permettant d'avoir accès facile au crédit, cela, pour l'implémentation de leurs besoins pratiques.
A part les contraintes liées à la participation des femmes à la vie socio-économique du pays, l'Ombudsman a exhorté les femmes à faire aussi un flashback sur des atouts déjà en place en leur faveur et à s'autoévaluer. Tout responsable dès la base possède sa parcelle de pouvoirs de décision. L'essentiel est de l'exercer pour l'intérêt général de la population et selon la politique générale du Gouvernement, a poursuivi l'Ombudsman de la République. Être dans les postes de décisions ne signifie pas automatiquement occuper des postes politiques, ça commence dans les ménages par le changement progressif des mentalités par une meilleure planification. Par exemple, les problèmes de succession sont d'ordre général mais un foyer peut s'organiser de façon à les éviter dans l'entente cordiale, a conclu l'Ombudsman.
NDIHOKUBWAYO Ferdinand
Visite d’encouragement et de soutien effectuée par l’Ombudsman à Muyinga-NGOZI à la Coopérative GSCO (Gashikanwa Speciality Coffee)
L’Ombudsman de la République du Burundi, Aimée Laurentine Kanyana, a consacré la journée du 26 août 2024, une journée des visites d'encouragement et de soutien aux entrepreneurs dans la filière café, une culture de rente qui figure aujourd'hui dans les grandes priorités du Gouvernement pour l'atteinte de la vision 2040-2060. Ainsi donc, en compagnie de l'administration, l'Ombudsman a visité les champs de culture du café et les stations de dépulpage et de lavage du café appartenant à la Coopérative GSCO « Gashikanwa Speciality Coffee » dans les communes de Gashoho en province de Muyinga, les communes de Marangara et Gashikanwa dans la province de Ngozi pour clôturer la journée par une visite du siège de la Coopérative GSCO située dans la ville de Ngozi, quartier Rubuye, abritant aussi l'usine de torréfaction où elle a signé dans le livre d'or et échanger des cadeaux. Partout où l’Ombudsman est passé, elle a lancé un message d’encouragement d’aller de l’avant.
En commune Gashoho en province de Muyinga, ayant constaté de la part du Président du Conseil d’Administration de la GSCO Mr Salvator Ncahoruri que le partenariat entre GSCO et la Banque Mondiale est fructueux jusqu'à introduire un projet d'électrification solaire à plus de 5000 ménages, la priorité étant orientée vers les caféiculteurs, l'Ombudsman a apprécié cet acte d'encourager l'agriculteur et a saisi cette belle occasion pour inviter chaque ménage à s'en profiter activement. Qui plus est, Aimée Laurentine Kanyana s'est réjouie du fait que les activités de la Coopérative GSCO se font légalement et avec respect des règles liées à l'environnement. Elle a invité d'autres investisseurs en général et les sociétés œuvrant dans la filière café en particulier à emboîter le pas. L'Ombudsman n’a pas manqué à exhorter la population à développer cette culture plus utile pour le développement des ménages et du pays en général.
La Coopérative GSCO, âgée de 13ans, à part de collecter le café auprès des caféiculteurs à un prix fixé par le Gouvernement prêche aussi par l'exemple avec ses plantations caféicoles sur une altitude de 1800-1850m dans les communes Gashoho à Muyinga, Tangara, Gashikanwa, Marangara à Ngozi. Elle a une vision de cultiver le café sur une grande étendue et espère réaliser cette rêve suite à la bonne collaboration avec l’administration. Il sied à rappeler que la Coopérative GSCO a déjà installé cinq usines notamment sur la colline Buvumbi en commune Gashoho de la province Muyinga ; et en province Ngozi sur la colline Gitanga en commune Gashikanwa, la colline Kagina à Marangara, la colline Kivumu en commune Gashikanwa, et enfin sur la colline Kiruhura en commune Tangara. A cela, s’ajoute la grande usine de torréfaction située dans le quartier Rubuye dans la ville de NGOZI dans les enceintes du siège de ladite Coopérative. Cette coopérative se distingue aux autres par la qualité de ses produits.
Malgré la détermination et les efforts enregistrés pour le fonctionnement de la Coopérative GSCO, des défis ne manquent pas aussi. En effet, sur le chemin vers la colline en commune Marangara de la province Ngozi, l'Ombudsman a constaté et a appris de la part des responsables de la GSCO que la route et ponts sont dans un état critique. Sur ce, Aimée Laurentine Kanyana a fait appel aux efforts de l'administration, de la Coopérative GSCO et de la Population pour améliorer leur état mais aussi aménager la chute d'eau de Kagina qui, ensemble avec les usines de café, pourraient attirer les touristes. Le Président du Conseil d’Administration de la GSCO a également parlé du défi lié à l’insuffisance des terrains à exploiter pour multiplier les plants caféicoles, chose que l’administration de Muyinga a promis d’inventorier les terrains disponibles à condition que les demandes se fassent formellement et que les terrains soient utilisés conformément à la demande.
- NGOZI: Etats provinciaux de l'Education, un moment stratégique de réflechir pour l'amélioration du secteur éducatif
- L'Ombudsman de la République du Burundi soutient le développement intégral et durable ainsi que la promotion du travail en association
- NGOZI: La fête communale, Edition 2024, a été rehaussée par l’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana, native de cette commune
- Coopérative: Promouvoir le travail en coopératives pour se développer doit se faire en parallèle avec le changement de certaines attitudes