En date du 10 février 2024, l’Ombudsman de la République du Burundi, en compagnie de certains cadres de l’Institution, a effectué une descente en province de Bujumbura en vue de prêter main forte à la population de cette localité lors des travaux de développement communautaire consistant à la réhabilitation de la route Gitwe-Mageyo-Gisagara sur la colline Mageyo en commune Mubimbi.
Dans son message, l'Ombudsman a précisé que les routes restent le moteur principal du développement. Elle a invité la population de Bujumbura à redynamiser les travaux communautaires par la construction et la réhabilitation des routes, des infrastructures scolaires et sanitaires. En plus, elle a ajouté que les routes apportent une plus-value dans le développement. Sur certains défis relevés par le Gouverneur de Bujumbura liés au manque des routes et d'électricité, l’Ombudsman promet de transmettre la doléance aux autorités compétentes.
L'Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana s’est réjouie de la verdure attrayante à Mubimbi. Elle appelle la population à la limitation des naissances, à la scolarisation des jeunes pour bannir les mariages précoces qui contribuent à la surpopulation et constituant un frein au développement déjà atteint. Selon toujours cette haute personnalité, une famille qui nourrit par exemple 8 enfants ne peut en aucun cas se développer qu’une famille qui nourrit 3 enfants si elles ont deux propriétés égales.L'Ombudsman a, en plus, exhorté la population de Bujumbura à ne pas prêter oreilles aux gens mal intentionnés travaillant en groupuscules pour propager des rumeurs à l'approche des échéances électorales de 2025. Elle leur invite à rester au travail et se préparer à ce grand rendez-vous.
Peu avant ce message de circonstance, l’administrateur de la commune Mubimbi et le gouverneur de Bujumbura avaient prononcé des messages d’accueil de l’Ombudsman. Ils ont salué les initiatives de développement exécutées à Mubimbi et en province Bujumbura en général.
Plus particulièrement, l’administrateur de la commune Mubimbi a mentionné la route Mubimbi-Matyazo-RN9(route Bujumbura-Bubanza) en cours de construction par l’Agence Routière du Burundi. Il a aussi signalé les écoles en construction et le projet d’adduction en eau potable par le FONIC. Néanmoins il a fait savoir que la commune se heurte au défis majeur du manque d’électricité. Sur 3 zones que compte la commune de Mubimbi, une petite partie seulement des zones Mageyo et Mubimbi a d’électricité. En plus, il plaide pour le ciment et le matériel pour ériger un pont de la route en réhabilitation reliant les collines Gisagara-Mageyo-Gitwe sur la RN1 Bujumbura-Bugarama.
De son côté, le gouverneur de Bujumbura a indiqué que la paix et la sécurité sont une réalité dans toutes les 9 communes et que la population vaque aux activités quotidiennes de développement dans la vision du Gouvernement « Burundi, pays émergent en 2040 et développé en 2060 ». Toutefois, Mr Désiré Nsengiyumva a indiqué que dans ces derniers jours, il s’y entend des rumeurs non fondées dans sa circonscription dû peut-être aux échéances électorales prochaines. Il a aussi signalé le défi lié à certains habitants qui n’ont pas encore entendu le programme de contrôle des naissances. Pour conclure, le gouverneur de Bujumbura a signalé deux grands défis auxquels la province fait face à savoir le manque des routes modernes et le manque d’électricité. Il demande l’Ombudsman de transmettre son vœu aux autorités compétentes.
En date du 10 février 2024, l’Ombudsman de la République du Burundi, en compagnie de certains cadres de l’Institution, a effectué une descente en province de Bujumbura en vue de prêter main forte à la population de cette localité lors des travaux de développement communautaire consistant à la réhabilitation de la route Gitwe-Mageyo-Gisagara sur la colline Mageyo en commune Mubimbi.
Dans son message, l'Ombudsman a précisé que les routes restent le moteur principal du développement. Elle a invité la population de Bujumbura à redynamiser les travaux communautaires par la construction et la réhabilitation des routes, des infrastructures scolaires et sanitaires. En plus, elle a ajouté que les routes apportent une plus-value dans le développement. Sur certains défis relevés par le Gouverneur de Bujumbura liés au manque des routes et d'électricité, l’Ombudsman promet de transmettre la doléance aux autorités compétentes.
L'Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana s’est réjouie de la verdure attrayante à Mubimbi. Elle appelle la population à la limitation des naissances, à la scolarisation des jeunes pour bannir les mariages précoces qui contribuent à la surpopulation et constituant un frein au développement déjà atteint. Selon toujours cette haute personnalité, une famille qui nourrit par exemple 8 enfants ne peut en aucun cas se développer qu’une famille qui nourrit 3 enfants si elles ont deux propriétés égales. L'Ombudsman a, en plus, exhorté la population de Bujumbura à ne pas prêter oreilles aux gens mal intentionnés travaillant en groupuscules pour propager des rumeurs à l'approche des échéances électorales de 2025. Elle leur invite à rester au travail et se préparer à ce grand rendez-vous.
Peu avant ce message de circonstance, l’administrateur de la commune Mubimbi et le gouverneur de Bujumbura avaient prononcé des messages d’accueil de l’Ombudsman. Ils ont salué les initiatives de développement exécutées à Mubimbi et en province Bujumbura en général.
Plus particulièrement, l’administrateur de la commune Mubimbi a mentionné la route Mubimbi-Matyazo-RN9(route Bujumbura-Bubanza) en cours de construction par l’Agence Routière du Burundi. Il a aussi signalé les écoles en construction et le projet d’adduction en eau potable par le FONIC. Néanmoins il a fait savoir que la commune se heurte au défis majeur du manque d’électricité. Sur 3 zones que compte la commune de Mubimbi, une petite partie seulement des zones Mageyo et Mubimbi a d’électricité. En plus, il plaide pour le ciment et le matériel pour ériger un pont de la route en réhabilitation reliant les collines Gisagara-Mageyo-Gitwe sur la RN1 Bujumbura-Bugarama.
De son côté, le gouverneur de Bujumbura a indiqué que la paix et la sécurité sont une réalité dans toutes les 9 communes et que la population vaque aux activités quotidiennes de développement dans la vision du Gouvernement « Burundi, pays émergent en 2040 et développé en 2060 ». Toutefois, Mr Désiré Nsengiyumva a indiqué que dans ces derniers jours, il s’y entend des rumeurs non fondées dans sa circonscription dû peut-être aux échéances électorales prochaines. Il a aussi signalé le défi lié à certains habitants qui n’ont pas encore entendu le programme de contrôle des naissances. Pour conclure, le gouverneur de Bujumbura a signalé deux grands défis auxquels la province fait face à savoir le manque des routes modernes et le manque d’électricité. Il demande l’Ombudsman de transmettre son vœu aux autorités compétentes.
NDIHOKUBWAYO Ferdinand
Au lendemain de son entrée en fonction d’Ombudsman de la République, Madame Aimée Laurentine Kanyana a effectué une descente de travail en province Ngozi en date du 09 décembre 2022. Accompagnée par les Cadres de l'Institution, l’Ombudsman a animé une première réunion administrative au chef-lieu de la commune Nyamurenza à l'intention des responsables des différents services œuvrant à Ngozi. Les échanges ont porté sur des questions relatives au renforcement de la bonne gouvernance. Au cours de cette réunion, les participants ont eu l’occasion de s’exprimer sur des questions diverses de la vie.
Dans son mot de bienvenue, le Gouverneur de Ngozi Mr Emmanuel Ntaconsanze, a exprimé ses sentiments de gratitude envers l’Ombudsman de la République cette première réunion animée à Ngozi. Il a indiqué que la paix et la sécurité sont une réalité dans sa circonscription et a interpellé la population à leur préservation. Et d’ajouter que des activités de sensibilisation de la population dans le cadre de répondre aux appels du Gouvernement se font à Ngozi notamment le combat de la pauvreté en travaillant dans des coopératives pour que chaque bouche ait à manger et chaque poche de l’argent ; les activités liées à la protection de l’environnement, à la mutualité de santé, les séances de moralisation à l’endroit des jeunes sur le patriotisme.
Le Gouverneur a également fait savoir le comité mixte de sécurité est à l’œuvre pour combattre les fraudes surtout qui s’observent dans les communes frontalières avec le pays voisin. Il invite la population à rester toujours vigilante.
Dans son allocution de circonstance, l’Ombudsman de la République du Burundi a remercié le Bon Dieu pour le souffle de la vie. Elle a aussi salué l’accueil lui réservé avec les cadres de l’Institution qu’elle représente. Mme Aimée Laurentine Kanyana a rappelé de l'importance des Institutions des Ombudsmans/Médiateurs présentes dans plusieurs pays avant de revenir sur les missions dévolues à l'Institution de l’Ombudsman de la République du Burundi, une Institution qui tire ses origines dans les Accords d’Arusha pour la Paix et la Réconciliation et la Constitution de la République. Parmi les missions signalées figurent la médiation entre les citoyens et l’administration ; le contrôle du bon fonctionnement des entités administratives.
L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a exhorté les responsables dans différents secteurs à jouer pleinement le rôle d'un bon leader, d'un médiateur qui écoute et donne conseils aux requérants afin d'éviter la prise des décisions injustes envers le citoyen et prévenir les conflits au sein des communautés. Elle a fait passer la parole aux Cadres de l’Institution qui l’a accompagné pour une présentation et parler un mot sur l’Institution en commençant par le Chef de Cabinet. Celui-ci a fait connaissance à l’audience de la présence de l’Institution de l’Ombudsman dans tout le pays avec 4 antennes régionales fixées à Ngozi, Makamba, Gitega et Bujumbura. Il a ajouté que l’Institution de l’Ombudsman peut exécuter sur demande du Président de la République des missions de paix et réconciliation à l’échelle nationale, régionale et internationale.
Les interventions des participants étaient principalement centré la stabilisation du système éducation demandant ainsi que les innovations couramment constatées soient étudiées pour éviter la détérioration de la qualité de la formation ; les décisions de la justice qui sont souvent contredites par les procureurs représentant le Ministère publique ; un rapatrié qui voit une injustice dans son dossier de demande de réintégration dans le métier d’enseignement. Les participants saluent l’initiative de l’Institution de l’Ombudsman d’instaurer des réseaux communautaires de médiation et prévention des conflits dans les communes du pays. Ils demandent que des séances de moralisations soient organisées à l’intention des libellés des prisons avant leur intégration sociale dans leurs communautés. Les participants ont demandé l’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana de visiter les prisons pour constater la situation des prisonniers.
En réponse aux interventions des participants, l’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a interpellé toute personne à être responsable en travaillant avec respect de la loi, à prévenir les conflits et appelle les administratifs à s’auto évaluer. Au cas d’un malentendu, l’Ombudsman a invité les citoyens à saisir les échelons selon la hiérarchie car il y a des questions qui peuvent être traitées et conclues facilement à la base avant de recourir au sommet. Elle a promis de soumettre les doléances exprimées lors de la réunion aux autorités habilités. En vue de renforcer la bonne gouvernance et recueillir les doléances de tout citoyen, l’Ombudsman a mis à la portée de tout le monde son numéro de téléphone portable.
Après la réunion, l'Ombudsman de la République Mme Aimée Laurentine Kanyana et les administratifs ont distribué une aide de 3 tonnes de haricots aux personnes démunies. Cette assistance avait été saisi dernièrement entrain de traverser frauduleusement les frontières.
En guise de félicitations et d'encouragement à l'action de l'Ombudsman, des paniers de vivres ont été offerts à Mme Aimée Laurentine Kanyana.