Autonomisation et inclusion financière des femmes: L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana exhorte les jeunes femmes, la jeune génération et la femme rurale à devenir des actrices de changement
L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana exhorte les jeunes femmes, la jeune génération et la femme rurale à devenir des actrices de changement
Le samedi 23 mars 2024, l'Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana a rehaussée de sa présence les activités du Forum "Malkia", Édition 2024, un produit de la CRDB Bank Burundi qui offre des opportunités aux femmes d'épargner et réaliser facilement leurs projets d'auto développement. Thème "Innover pour l'inclusion financière de la femme". Au cours de cette activité, Aimée Laurentine Kanyana a encouragé les jeunes femmes à devenir des actrices de changement. L’Ombudsman Aimée Laurentine Kanyana reconnaît l'importance cruciale de la CRDB Bank dans la création des opportunités des femmes de toutes les générations. Elle encourage les jeunes femmes, la jeune génération et la femme rurale à devenir des actrices de changement. L'éducation financière est un levier puissant pour bâtir un avenir prospère et autonome.
L’autonomisation des femmes et l'inclusion financière sont des piliers essentiels pour la réalisation de la Vision Burundi 2040 et 2060. La Vision 2040 aspire à transformer le Burundi en un pays émergent, où chaque citoyen vit dans des conditions décentes, avec une économie compétitive axée sur l'agro-alimentaire, l'industrie et l'exploitation minière, tout en préservant notre environnement naturel. À l'horizon 2060, on envisage un Burundi pleinement développé, où les besoins des générations présentes et futures sont satisfaits.
L'Ombudsman a indiqué que la stabilité des foyers constitue le moteur de tout développement. Elle invite les parents à une planification familiale pour préparer d'avance les générations futures. En plus, les femmes leaders sont appelées à contribuer par des séances de conscientisation. L'Ombudsman a rappelé que l'économie du pays s'appuie principalement sur le secteur agro-pastorale. Il reste donc important d'investir en les femmes rurales. Un centre de renforcement des capacités des femmes dans toutes les provinces aurait un impact positif pour bien encadrer ces femmes à l'inclusion financière afin qu'elles deviennent elles aussi plus productives. Les activités de la journée se sont bouclées par la coupure du ruban, un signe de l’ouverture solennelle du marché des produits « made in Burundi » dans les stands installés dans les enceintes du Donatus Conference Center.